Cher Journal,
Voici quelques entrées pour ce samedi, même si en fin de compte, rien de bien transcendant n'est à rapporter.
Un gentil camarade m'a fait remarquer sur IRC que le programmes SuperCopier mentionné dans l'entrée de journal d'hier n'est effectivement plus maintenu, et que chercher à se servir des versions actuellement distribuées relèverait de l'inconscience. Ci-dessous se trouve notre échange, avec son aimable autorisation :
Daarky> emollier> Super copier tourne toujours sur Windows 7 (enfin la version 2.2 beta en pascal) Daarky> les version suivante c'est le bordel ça un repackaging par un concurent Daarky> Puis au bout de 9 mois le concurent colle un skin "SuperCopier" sur son logiciel de copie avec le nom "SuperCopier" Daarky> Et je passe les versions qui intégrent un mineur bitcoin pour "payer" le "dévelopeur" le tout en "Open Source" emollier> En un mot, c'est peut-être plus la peine d'en faire de la publicité. Daarky> exactement, sauf si tu te sent d'humeur à faire un fork de la 2.2 beta emollier> pas vraiment...
Par conséquent, une note en bas de page accompagne l'entrée pour signaler de ne pas chercher à s'en servir.
La vidéo surveillance est une locution désignant l'art d'utiliser des caméras à fins de garder un œil sur quelque chose. Ce peut être un emplacement de machine industrielle, afin de surveiller le déroulement d'un procédé de fabrication par exemple, notamment à un emplacement où demander la présence d'un être humain serait impossible, par exemple dans un environnement dangereux, ou fragile. L'usage le plus communément admis de la vidéo surveillance est la pratique de garder un œil à toute heure du jour et de la nuit, sur un emplacement, à fin de détecter les intrusions, et éventuellement empêcher les vols ou les dégradations. Le terme en lui même a commencé à se généraliser dans l'usage courant dans les années 1980.
La vidéo protection est un concept vraisemblablement Français qui, suivant ma compréhension limitée de la chose, sert à tracer une séparation entre la vidéo surveillance à caractère strictement privé, et une forme de vidéo surveillance applicable sur la voie publique, pour surveiller les abords d'un cinéma, ou d'une gare, par exemple.
La vidéo verbalisation est un second concept, là encore bien Français, qui constitue une nouvelle généralisation du concept précédent de vidéo protection, en ce sens que les images acquises par ce système peuvent désormais servir à verbaliser un nombre, pour l'instant prédéfini, d'infractions sans devoir procéder à l'arrestation, ni même à la notification immédiate du contrevenant. Pour le moment, ce concept n'est censé ne s'appliquer qu'à un nombre limité de vingt-quatre infractions, qui ne concerne que les automobilistes.
Question : quelle tournure prendra le prochain changement de sémantique ?
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